Vigile

Sans se presser, Anne avait traversé quelques murs et avait tout simplement attendu que quelque chose se produise. Finalement, elle s’était immobilisée près d’une fenêtre et avait laissé errer son regard. Alors qu’elle avait déjà souci qu’elle allait s’ennuyer dans un avenir proche, la Duchesse distingua quelque chose. La silhouette d’un homme se dirigeait vers la roseraie. L’homme était étrangement flou, comme si il avait été entouré par une épaisse nappe de brouillard qui ne pouvait pourtant pas s’expliquer par la saison déjà avancée.

Anne de Faussigny esquissa un sourire.

Ce cher petit Vicomte…, songea-t-elle avec amusement lorsqu’elle aperçu Charles de Montval qui se dirigeait vers la roseraie. Aimait-il les fleurs ou pensait-il y trouver quelque chose d’autre? Anne resta à la fenêtre alors que le Vicomte était déjà hors de vue.
Diantre, la roseraie, c’était sa place à elle…

« Iras-tu donc pleurer chez elle ? », murmura la Duchesse et secoua la tête. « Tu perds ton temps… »

Pourtant, Anne n’était pas tranquille. Elle allait savoir ce qui se tramait, et même si elle n’aimait pas entrer dans cette maudite roseraie, elle allait faire une exception.

Aby rentra dans la salle,elle venait d’avoir une conversation avec un jeune homme,vivant,un jeune homme qui avait découvert ce qu’elle était,elle regarda autour d’elle et remarqua la duchesse,elle s’inclina devant elle comme elle faisait lorsqu’elle était jeune et qu’elle assister au repas a quel ont la convier

« Madame… »

Elle attendit un signe qui lui disait qu’elle pouvait se relever, tout en gardant sa rose dans les mains,une rose noire,noire comme la nuit,noire comme son cœur,par politesse elle tendit la fleur toujours courbé a la duchesse. Elle savait que la duchesse pouvait entrer dans des colères noires si on lu manquait de respect,autrefois elle aurait pu la faire tuer mais la…

« puis-je me relever… »

Elle sourit et remit sa robe noire en place,elle aimait beaucoup la couleur noire..

Hj:dsl manque d’inspi mais bon faut faire revivre la forum

Alors que la Duchesse allait se mettre en chemin pour une petite visite de courtoise à sa belle-fille, en sentit quelqu’un entrer. Anne n’eut pas même le besoin de se retourner pour détecter un fantôme, plus âgé que celui du Vicomte, mais pas assez pour être celui de Clémence. Etant donné qu’elle savait bien que cet esprit ne pouvait lui nuire, elle prit son temps avant de se retourner et de faire face à la nouvelle venue.

Elle ne la connaissait guère et pourtant, Anne avait déjà aperçu cette fille quelques fois. Elle ne lui servirait guère, étant donné que ce spécimen faisait partie de ceux qui se tenait relativement tranquilles au château. Pourtant, cette petite faisait preuve de respect, chose que sa maudite belle-fille n’avait jamais cru bon d’apprendre. Même si la Duchesse était déçue de ne pas avoir à faire à une nouvelle confrontation imminente, elle décida de se montrer magnanime.

« Levez-vous, mon enfant », répondit-elle à l’esprit de la jeune femme.
La Duchesse parcouru la nouvelle venue du regard et s’arrêta à la hauteur de ses mains.
« Cette chose que vous portez avec vous, jeune fille…d’où vient-elle ? », demanda Anne, fusillant la rose du regard.


OCC: Pas de problême ^^

Aby se releva noblement comme tout enfant qui avait reçu son éducation,son regard survola la duchesse,elle était toujours aussi belle et avait un prestance naturelle que même la mort ne lui avait pas pris,elle baissa le regard sur sa rose

« Dans la roseraie madame,j’en reviens… Voulez-vous que je la jette?»

Elle remit sa longue chevelure en place tout en prenant soin de ne pas faire de plis a sa longue robe,elle était plus petite que la duchesse,tant mieux ça lu éviterait d’avoir a se baiser durant toute la conversation,même si elle avait vécu un peu dans la rue monsieur lui avait toujours appris a respecter les autres.

« Madame,comme vous devez le savoir,des vivant peuple a présent le château,mais je juge utile de vous prévenir qu’un homme qu étudie les fantômes est amis nous,il a pris en photo la jeune Joséphine pour la mettre dans un journal,afin de prouver a tout le monde que les fantômes existent… »

Elle attendit la réponse de la duchesse,si celle-ci lui demandait elle irait voir Danny pour lui piquer ce qu’il appeler la pellicule,elle ne savait pas si la duchesse entendait le mot photo mais elle ne voyait pas un autre mot pour lui expliquer la situation….

Alors que la Duchesse jetait toujours un regard haineux à la rose que tenait l’intruse, celle-ci finit par répondre qu’elle l’avait prise dans la Roseraie.
La Roseraie! – La Duchesse en aurait mis sa main immatérielle à couper et ne pris pas même la peine de répondre à la question du jeune esprit. Peu importe si elle jetait ou non cette fleur…Anne savait bien que Clémence avait horreur que l’on touchasse à ses roses et, à voir, même les esprits plus jeunes ne s’en privaient pourtant pas.

Alors que la Duchesse s’appétait à demander d’un ton doucereux – le plus dangereux de tous – si la fille n’avait pas, par un heureux hasard, croisé deux autres esprits, dont celle de sa maudite belle-fille, en volant cette fleur dans la Roseraie, mais la gamine fut plus rapide qu’elle:
« Madame, comme vous devez le savoir, des vivants peuplent a présent le château, mais je juge utile de vous prévenir qu’un homme qu étudie les fantômes est amis nous, il a pris en photo la jeune Joséphine pour la mettre dans un journal, afin de prouver a tout le monde que les fantômes existent… »

La Duchesse plissa les yeux lorsqu’elle entendit la nouvelle. Tout d’abord, elle avait voulu couper court à ces ragots dont elle se moquait éperdument mais, pour finir, elle du admettre que cette nouvelle était peut-être intéressante. Pourtant, Anne dut réfléchir quelques instants, afin de se rappeler ce que les vivants appelaient une « photo » et se souvint de la toute première fois qu’elle avait vu un de ces tas de chair regarder dans cette boite étrange. Un éclair aveuglant, une attente de quelques minutes, puis un long procédé qui lui échappait, tout cela aboutissait à la naissance d’une image, minuscule et pourtant encore plus parfaite que le travail des plus grands portraitistes de son temps.
Donc, une de ces images avaient été faite d’un fantôme, afin de la rendre publique dans un journal ? Ce petit mortel avait-il la moindre idée de ce qui pouvait lui arriver si Anne décidait de couper court à cette folie ?

« Eh bien, en voila une nouvelle… », murmura la Duchesse, avant de s’adresser à l’esprit de la elle jeune fille qui lui faisait face. « ...Et j’imagine que, si cette….cette « photo » était révélée au monde, les vivants n’en finiraient pas de débarquer ici… »
Lentement, la Duchesse se détourna et fit quelque pas à travers la pièce, sa lourde robe traînant derrière elle.
« Cela pourrait être…amusant, je l’avoue, mais, pour tout avouer… »
Anne s’arrête, se retourna vers la jeune fille et lui décrocha l’un de ses fameux sourire qui servait souvent à faire comprendre à son interlocuteur qu’il avait deux minutes pour tenter de sauver sa misérable peau.
« …Je n’aime pas ces gens qui pensent pouvoir nous étudier. »

Aby attendit en silence comme elle savait si bien le faire,de toute façon elle n’aimait pas trop parler,et elle se dit qu’elle parler peut être encore trop en voyant que la dich esse plissait les yeux comme si elle se moquer de cette nouvelle,mais rien ne se passa,pas un mot au dessus de l’autre. Elle commença juste a se déplacer dans la pièce se lourde et magnifique robe qui en des temps ancestral aurait bruissé sur le sol,elle aurait donner cher pour entendre encore une fois ce bruit de sa propre robe,la duchesse commença a parler…seule…de toute façon Aby ne ce serait pas permis un seul mot du moment qu’elle n’avait pas fini son monologue

« Effectivement les gens arriverait et surtout d’autre parapsychologue… »

Elle fut coupé par la duchesse qui avais repris sa conversation toute seule dans son coin proche de la fenêtre,fenêtre de laquelle on voyait tout ce qui se passait dans la cour et qui montrer au loin la roseraie,la fameuse roseraie interdite,et pourtant elle y aller quand même que pourrait lui faire,elle était morte et on ne peut mourir deux fois…La duchesse dit alors que cela pourrait être amusant…

*Amusant je ne vois pas en quoi ce serait surtout triste pour nous…*

Elle comprit alors que la duchesse s’amuserait seulement a les persécutés,si elle avait été vivante son sang ce serait glacé et son cœur aurait battu si vite dans son coeur qu’il en aurait exploser,elle comprit alors dans quel pétrin elle venait de mettre Danny,Sam et tout les autre vivant qu vivait ici

*Mais qu’as-tu fait? Tu ne parle presque pas mais quand il le faut tu ne sais pas tenir ta langue…*

Ses méditations cessèrent court quand elle vit le fameux sourire de la duchesse elle prit sa robe dans ses mains car elle avait beau être immatérielle,pour elle elle la sentait sur ses jambes lorsqu’elle marchait et elle la déranger si il lui fallait courir très vite.

La Duchesse s’amusa lorsqu’elle sentit un changement radical s’opérer dans la pièce. Cette gamine, bien que morte, empestait la peur, chose que Anne appréciait tout particulièrement. La plupart des esprits prenaient soin de l’éviter, car le pouvoir de la Duchesse pouvait se retourner aussi bien contre les vivants que contre des revenants qui l’énervaient un peu trop. La seule personne qui aurait été capable de protéger les esprits du châteaux des humeurs da la Duchesse était Clémence, mais Anne savait bien que sa maudite belle-fille était bien trop occupée à pleurer sur son sort et à tenter de filer quelques amourettes avec de jeunes et beaux vivants que d’octroyer ne serais-ce qu’une seconde de son précieux temps à ceux et celles qui se retrouvaient maudits par sa faute.

Anne laissa planer le doute quelques instants avant de reprendre la parole. L’esprit de la jeune fille était encore plus beau et plus mystérieux lorsqu’il était effrayé, ce qui donna que d’autant plus d’envie à la Duchesse de prendre tout son temps. Pourtant, ce n’était pas après cette fille qu’elle en avait…du moins par pour l’instant car, après tout, cette petite avait témoigné du respect et lui avait révélé quelques nouveautés intéressantes.

Durant un instant, Anne pris le temps de mettre de l’ordre dans ses idées : Devait-elle d’abord s’occuper de ce vivant dérangeant ou alors poursuivre sa petite enquête concernant les fréquentations malsaines du Vicomte? Finalement, Anne pris une décision : Le tas de chair pouvait attendre, d’ailleurs, elle n’en aurait que plus de plaisir à s’en occuper plus tard.
« Dites-moi, mon enfant », commença la Duchesse de sa voix la plus mielleuse, « …Vous avez donc été cueillir des fleurs dans la Roseraie…y avez-vous vu quelqu’un ? »

Aby resta un moment immobile comme une statue attendant et le signal qui la ferait courir le plus loin possible,elle savait que la duchesse était de celle qui adorer faire peur a ses sujets,elle savait aussi qu’elle repnait plaisir a la laisser trembait dans son coin. Depuis qu’elle était rentrer Aby n’avait pas fait un seul pas non pas par peur mais par respect,la elle ne savait même plus si elle saurait courir,finalement la duchesse se décida a parler dans la roseraie,elle réfléchit longuement tout en s’amusant avec la rose dans es mains,elle leva les yeux au ciel et sorti sa langue de sa bouhe sur le sotés pour l’y remettre tout de suite un peu comme ça en gros(dsl mais bon j’ai pas pu résister!!!!!l’est trop beau en plus j‘ai vraiment ce tic e tje savais pas qu‘il l‘avais!!!! Ça va je sors!
Elle reposa sa robe en silence toujours pensive,elle ne mit aps trop de temps tout de meme

« Et bien non…C’était désert mais lorsque je suis sorti je crois madame clémence arriver,enfin il me semble,je ne epux rien vous affirmer madame… »

Elle sourit et risqua u nregard vers la roseraie a présent bien sur madame clémence était la

« Mais elle y est maintenant je crois qu’elle aime beaucoup cet endroit…. »

[*ARGH* Tokio Hotel! Enlevez-moi ça ! C’est…trop horrible ! NOOOON pas ça ! Je ne ferais amais plus peur à personne, MAIS PAS CA !!!
*Félicitations, tu viens de faire fuir la Duchesse…voila, vous autres, maintenant, vous savez comment vous y prendre !*]


Visiblement, la jeune fille réfléchissait à chaque mot qu’elle allait prononcer, chose assez fréquente chez les personnes qui s’entretenaient avec la Duchesse Anne De Faussigny. De son vivant déjà, elle en avait vu des plus robustes que ce petit esprit blêmir sous son regard de glace et choisir soigneusement chaque mot qui allait être prononcé.
Finalement, les doigts fins de la fille lâchèrent le pan de sa robe qu’elle avait relevée…probablement afin de pouvoir fuir plus rapidement. Anne allait faire un commentaire, mais étant donné que la gamine s’appétait à lui livrer plus d’informations, elle pris la décision de se taire. Si cette fille voulait fuir…eh bien, elle lui laisserait une légère avance, car elle était de bonne humeur aujourd’hui.

« Et bien non…C’était désert mais lorsque je suis sorti je crois madame clémence arriver, enfin il me semble,je ne peux rien vous affirmer madame… »
Ah. Peut-être qu’elle aurait quand même se montrer plus persuasive dès le début, car les informations que lui avait révélé cette fille n’étaient pas à la hauteur des espérances de la Duchesse. Alors que Anne était sur le point de lui faire savoir cela – d’une manière plus ou moins directe – celle-ci repris :

« Mais elle y est maintenant je crois qu’elle aime beaucoup cet endroit…. »
Cette fois, Anne était intéressée. Bien sur, ce n’était un secret pour personne que sa maudite belle-fille adorait cet endroit, mais le fait qu’elle s’y trouvait en ce moment pouvait se révéler potentiellement important. Anne esquissa un sourire. Avec un peu de chance, elle n’allait pas même devoir s’y rendre personnellement.
« Y est-elle seule ou a-t-elle trouvé quelqu’un à qui se plaindre de sa pauvre condition ? Vous peut-être ? »
A cette pensée, Anne leva les yeux au plafond et poussa un soupire exaspéré. « Voila cinq siècles qu’elle pleurniche et qu’elle se prend elle-même en pitié…et pourtant…nous savons tous à qui nous devons cet honneur immense de nous retrouver tous ensemble ici-bas, n’est-ce pas ? »

Hj:quest. Ce que tu as contre Tokio Hotel j’aime bien moi!?!non pas que je ne respecte pas ton choix soi disant passant!

Aby hocha la tête,elle regarda a nouveau vers la fenêtre

«Je n’écoute pas vraiment quand elle se plaint juste par politesse,même morte elle reste supérieure a moi,elle passe tellement de temps a se morfondre que je n’y fait plus attention même si cela au début me faisait de la peine…Je pense qu’elle pourrait se plaindre a monsieur James le propriétaire légal du manoir,ils semblent beaucoup s’entendre,un peu trop peut être… »

Elle sourit,un peu crispée mais sincère Aby ne savait pas se forcer a sourire,et puis c’était naturel chez elle,elle n’avait besoin de personne pour ça elle repensa a la nourrice qui avait voulut lui apprendre a se forcer a sourire Aby était partit en coup de vent et n’avait pas remis les pieds au château pendant t2 jours entier d’angoisse pour son père…

hj:post de merde post de merde tatatatam!!!!lalalala la!la!lalalala

OCC: Disons que…*ARGH*, ce serait trop long à expliquer… ^^



IC:

«Je n’écoute pas vraiment quand elle se plaint juste par politesse, même morte elle reste supérieure a moi, elle passe tellement de temps a se morfondre que je n’y fait plus attention même si cela au début me faisait de la peine… Je pense qu’elle pourrait se plaindre a monsieur James le propriétaire légal du manoir, ils semblent beaucoup s’entendre, un peu trop peut être… »

Lorsqu’elle entendit ce que disait le jeune esprit, Anne s’immobilisa et leva le sourcil droit, toisant la gamine de toute sa hauteur. Cette fille avait visiblement le chic de contracter une foule d’informations intéressantes en quelques petites phrases seulement, chose que la Duchesse appréciait grandement. Ce que cette fille lui avait appris pouvait lui être très utile, car elle avait jusque là ignoré que Clémence avait jeté son dévolu sur un jeune vivant…cela faisait un bon moment que cela n’était plus arrivé, et Anne avait toujours cru que sa belle-fille avait retenu la leçon qu’elle avait reçue la dernière fois.
Anne eut un sourire mauvais lorsqu’elle se remémora cette histoire: Lorsqu’elle s’était rendue compte que Clémence avait des vues sur l’un de ces jeunes tas de chair, elle avait d’abord hésité à le jeter du haut de la tour de garde, histoire d’en faire un ennemi fantomatique de plus pour sa belle-fille, mais elle avait fini par craindre que ce jeune crétin soit trop amoureux pour en vouloir à Clémence et finir par se liguer avec elle contre Anne elle-même…Alors, finalement, elle s’était attaqué au jeune frère de l’élu de sa belle-fille, afin de faire fuir toute la petite famille…et elle avait réussi.
Ah, Clémence, incorrigible!, songea la Duchesse et secoua la tête.

Bien, bien…elle allait donc devoir s’occuper très prochainement du nouvel élu de sa belle-fille, et qui sait…peut-être parviendrait-elle à se montrer encore plus inventive que la dernière fois. En attendant, Anne avait encore deux mots à dire à la gamine:
« Écoutez, ma petite, vous n’avez aucune politesse à faire à un être tel que ma chère belle-fille. Croyez-moi, vous ne lui devez rien, ni politesse, ni regard, ni même votre présence dans son antre. »Soudainement, le ton de la Duchesse avait changé, car, pour la première fois, quelque chose qui aurait pu être une émotion avait percé dans sa voix.
« Et même si vous eussiez été la plus vile des femmes, la plus répugnante catin des rues parisiennes ou la plus avare des filles de France, vous eussiez valu encore mille fois plus que celle qui peut se venter d’avoir été la femme de mon garçon. »
Anne fit quelques pas vifs se s’arrêta à quelques centimètres de la jeune femme, la touchant presque de son ample robe.
« Clémence ne vaut rien. Moins que rien…alors ne dites jamais plus qu’elle vaut mieux que vous. »


OCC: Clémence, pour le Flash-back, c’est en ordre ?

Aby se figea en voyant sa supérieure hiérarchique s’arrêter et levait un sourcil avait-t- elle fait encore une gaffe?Avait -t-elle donner une information en trop?Elle observa son mauvais sourire et comme on pouvait s’y attendre elle repris sa robe entre ses mains laissant tomber la rose par terre tandis qu’elle disparaissais sous la robe de Anne alors qu’elle s’avança vers elle,son visage montra toute le peur que pouvait contenir son petit corp fantomatique,elle écouta attentivement et se risqua alors a une objection,la petit émotion qui avait percé dans sa voix l’avait surprise mais bon elle n’en tint pas rigueur Elle commenca a trembler en voyant qu’elle tout près d’elle,elle recula de quelques centimètre

« Mais madame si je ne la respecte pas elle me fera persécuter je ne suis rien a elle comme face a vous,je veux bien valoir plus qu’elle,mais qui me protégera face a elle . »

Elle se rendit alors compte de ce qu’elle faisait aussitôt elle devint blanche plus encore que ce qu’elle pouvait

« Je suis désole madame,je ne voulais pas c’est bete comme … »

Elle attendit anxieuse

Hj:saleté d’orage!

Alors que Anne avait élevé la voix, le jeune esprit avait blêmit à vue d’oeil – autant que cela était encore possible dans de telles conditions. La gamine tremblait, chose que la Duchesse appréciait de la part de ceux qui lui étaient inférieurs, mais pas lorsqu’elle tentait quelque chose de très rare chez elle, soit un début d’explication.
Alors que la jeune fille reculait, Anne avançait et s’immobilisa seulement lorsqu’elle entendit un craquement sous son talon droit. Lentement, elle leva le pied et vit les restes de la rose, écrasés sur le sol. Anne ne broncha pas, reposa son talon là ou il avait été acheva d’écraser la fleur délicate.
Pauvre Clémence…elle qui n’aimait pas que l’on touche à ses roses…quel dommage. Pourquoi Anne devait-elle être aussi maladroite ?

« Mais madame si je ne la respecte pas elle me fera persécuter je ne suis rien a elle comme face a vous, je veux bien valoir plus qu’elle, mais qui me protégera face a elle…Je suis désole madame, je ne voulais pas c’est bête comme … »

Anne fit un geste de la main comme pour chasser loin d’elle un insecte dérangeant. Puis, elle toisa le jeune esprit, ce qui était plutôt facile vu la grande taille de la Duchesse. Voyant que la gamine paraissait terrorisée, Anne se fendit d’un sourire presque maternel.
« Mais enfin, voyons…depuis quand Clémence persécute-t-elle d’autres esprits ? Depuis quand s’intéresse-t-elle à autre chose qu’à elle-même ? »Soudain, une lueur d’intérêt s’alluma dans les yeux de la Duchesse. Peut-être…avait-elle raté un épisode ? Arès tout, c’était possible…
« Ou alors…aurait-elle changé ? », dit Anne pour elle-même, avant de reposer son regard sur son interlocutrice.
« Dites-moi, jeune fille, vous a-t-elle persécuté ? Avez-vous peur de ma belle-fille ? »

Aby regarda la rose,Elle regarda ensuite la duchesse ecraser encore plus la rose avec son talons comme un homme pouvait écraser sa cigarette,même si la rose était moins nocif pour la santé en temps normal elle aurait sourit mais pas la,trop terrorisé surement…Elle observa le geste de la main de Anne en silence,en baissant les yeux,lorsqu’elle releva la tete ,elle fut surprise de trouver un aussi beau et maternel sourire sur le visage de la duchesse,

*Il doit y avoir un problème un coup en douce reste sur tes gardes,a si monsieur était la il saurait comment sortir de cette pièce! *

Elle se risqua a répondre a son sourire,ce qu rendait son visage réellement beaucoup plus beau mais bon, elle réfléchit

« Je ne sais… »

Elle ne put terminer sa phrase voyant la lueur s’allumer dans les yeux de clémence puis elle pris la parole elle dut encore réfléchir

« Non,je ne la croise plus très souvent,mais madame aime que l’on la respecte de plus elle a un allier vivant maintenant,elle connait le point faible de tout les fantômes qui hante ce manoir il lu suffit d’appliquer sa loi…. »

Elle baissa la tete attendant la réponse de la duchesse,elle leva la tete et se rendit compte a quel point elle était grande mais c’était peut etre parce qu’Aby n’avait jamais étais très grande de nature,

« J’ai peur de tout ceux qui sont hiérarchiquement au dessus de moi madame….Ils ont le droit de tout faire sur nous… »

*Meme brûler la fille d’un amie parce que soi disant que c’est une sorcière…. *

La gamine n’était pas dupe. Dommage. Anne était sure que, si elle détournait les yeux ne serais-ce qu’un instant, la fille tenterait sa chance et prendrait la fuite. Et pourtant…lorsqu’elle s’était assez ressaisie pour être en mesure de répondre, il devint évident qu’elle avait effectivement peur de Clémence. Anne fronça les sourcils : Alors, c’était bien ça…sa chère belle-fille voulait tenter une nouvelle fois de faire la loi dans ce château.
La Duchesse réprima un rictus de colère. Clémence n’avait-elle toujours pas retenu la leçon ?
Fort bien…Anne pris la décision de s’occuper de cela dès maintenant, et en tout premier lieu de cet « allié vivant » décrit par la jeune fille. Clémence avait donc enfin abandonné son statut de belle larmoyante afin d’enquêter sur les autres esprits et, en particulier, sur les faiblesses de ceux-ci ? A cette idée, Anne en aurait presque sourit, car si Clémence connaissait les faiblesses de sa belle-mère – chose dont Anne doutait fortement – il en allait de même pour la Duchesse. Cela faisait presque six siècles que Anne la côtoyait bon gré mal gré et elle connaissait par cœur jusqu’au dernier cheveux de sa maudite belle-fille.

Si c’était la guerre que voulait Clémence, eh bien, elle allait l’avoir…

Les autres esprits du château allaient devoir choisir leur camp et cela, Anne le savait bien. Certes, elle était d’une puissance rare et n’avait besoin d’aucun autre esprit pour obtenir ce qu’elle voulait, mais l’idée d’avoir des espions à sa botte qui l’informait de chaque fait et geste de sa belle-fille n’était pas pour lui déplaire.
Alors que Anne était habituée à obtenir de l’obéissance par la terreur, elle allait devoir changer de tactique si elle espérait obtenir le soutiens des autres esprits contre Clémence. Pour le Vicomte, c’était cuit, bien sur, surtout après ce qu’elle venait de lui révéler. Tout cela avait été stratégiquement médiocre, mais tellement amusant que Anne n’avait pas pu résister…Par contre, il y avait de l’espoir concernant d’autres individus…comme la petite servante qui, malheureusement, avait échoué à réduire la roseraie en miettes, le chevalier errant qui haïssait Clémence et – pourquoi pas – cette gamine ci.

Alors que la Duchesse tentait en vain de se rappeler du nom de la fille qui lui faisait face, une véritable onde de choc secoua tout le château et lui fit l’effet d’un coup de poing dans le ventre. Si Anne avait eu un souffle, il aurait certainement été coupé. Entant qu’esprit très ancien, elle était hautement sensible à toute fluctuation magique, bien plus qu’un esprit plus jeune et que n’importe quel vivant. Lorsqu’un nouveau fantôme apparaissait, Anne le savait, lorsqu’une vie s’éteignait, elle le savait également – même si, pour une fois, elle n’en était pas la cause directe.
Or, ce qui venait de se passer avait été d’une puissance telle que Anne fit un pas en arrière et s’accrocha au lourd rideau de velours près de la fenêtre. Contrairement à son habitude, elle retrouva ses vieux réflexes de vivante en tentant de reprendre son souffle. Durant un instant, elle avait eu la sensation que…un nouveau fantôme se matérialisait, alors que cette présence ne lui était pas inconnue. Tout cela n’avait pas de sens et pourtant, Anne savait qu’un choc magique d’une telle puissance ne pouvait provenir que d’un seul et unique esprit : Celui de Clémence.
« Qu’est-tu entrain de faire, sale petite mijaurée ? », murmura la Duchesse en se remettant droite tant bien que mal.

Aby la regarda un moment la duchesse réfléchissait et elle savait qu’il ne fallait pas la déranger de toute facon monsieur lui avait dit que c’était énormément impoli de déranger quelqu’un alors qu’il faisait quelque chose. alors qu’elle hésiter au moment ou elle ouvrait la bouche Anne commença a tituber et a s’accrocher ou plutôt tenter de s’accrocher au rideaux son premier réflexe fut de se retourne pour regarder qu avait put faire ça puis voyant qu’il n’y avait personne elle se précipita vers Anne pour l’aider a se relever,elle l’entendit parler mais n’y fit pas attention

« Madame…madame ça va »

Elle regarda la duchesse et retira ses mains de dessus ses épaules endroit qu’elle avait agrippé pour l’aider a se relever

« Qu’est y est arrivé qui c’était?»

En cet instant la duchesse n’avait aucun mal a comprendre que Ab était morte de trouille et que si elle avait encore put elle se serait évanoui pour s’étaler comme une mouche sur le sol elle en tremblait encore et ne put s’empêcher d’aller s’adosser au mur pour reprendre son souffle saccadé

« Vous avez fais c pour me faire peur c’est ça !e n’est pas normal….enfin je veux dire c’est pas naturel! »

Elle releva les yeux vers la duchesse et pour la première osa regarder celle qui lu faisait si peur droit dans les yeux…attendant une réponse alors qu’elle preprenner sa place initiale dans la pièce comme pour montrer que la duchesse restait supérieure a elle. Elle repensant a la réaction d’Anne

*Petite mijoté qui Est-ce? Peut etre Cléence après tout il est bien connu qu’elle se déteste! »

La gamine s’était aussitôt précipitée sur elle pour lui venir en aide, si bien que Anne eut de la peine à réprimer un geste pour l’éloigner, comme elle aurait fait pour chasser une mouche. Elle, la grande Duchesse, Maîtresse incontestée de ce château, n’était pas faible. Et pourtant…ce qu’elle venait de ressentir avait ébranlé la vieille bâtisse jusque dans ses fondations.
« Qu’est y est arrivé qui c’était?», bégaya l’esprit de la jeune fille à deux doigts de sombrer dans la panique la plus totale, ce qui eut comme conséquence d’énerver encore plus la Duchesse. Cette fillette fantômatique avait peut-être aussi ressenti quelque chose, sans pour autant parvenir à l’identifier. En tout cas, Anne n’avait pas besoin de la présence de cette hystérique lorsqu’elle s’efforçait de réfléchir.

« Vous avez fais ça pour me faire peur c’est ça !e n’est pas normal….enfin je veux dire c’est pas naturel! »
Entre temps, la gamine s’était adossée au mur et était tellement paniquée qu’elle avait retrouvé ses vieux réflexes d’humaine en respirant en saccade. La Duchesse qui était parvenue à regagner son équilibre la fusilla du regard.
« Cesses de souffler comme ça, jeune idiote, tu n’a plus besoin de respirer, tu es morte ! »
Le regard terrifié de la jeune fille énervait Anne. De plus, cette petite idiote croyait vraiment qu’elle avait fait cela pour lui faire peur…comme si Anne avait du temps à perdre avec ce genre d’enfantillages. A quoi bon faire peur à des esprits? Bien sur, cela pouvait être amusant de temps en temps mais, cette fois, Anne n’avait pas du tout envie de rire.

« C’est Clémence…cette petite peste prépare un mauvais coup ! »Sans se soucier un instant de plus de la gamine terrifiée, Anne se détourna vivement et, saisissant son ample jupe à deux mains, passa en courant à travers la porte d’entrée.


TBC : La Roseraie