Nom: Débilitas
Prénom: Bacchus
Age: difficile à estimer mais la trentaine au moins
Statut Physique : Humain
Statut Social : Domestique
Description Physique :
Malgré le fait qu'il soit légèrement bossu, Bacchus est une force de la nature que se soit en poids ou en taille. La nature la doté d'une grande force qu'il a souvent du mal à contenir. Ses cheveux sont noirs et rasés à l'extrême. Ses grands yeux sont terriblement expressifs et représentent le reflet parfait qui permet de savoir quels sentiments simplistes lui passe par la tête. Son nez est courbé voir casé. Il lui manque plusieurs dents de devant et son menton est mal rasé. Ses vêtements sont aussi simple que salles et rapiécés. A sa ceinture, un trousseau de clef permettant d'ouvrir la plupart des pièces où il doit travailler. Un trésor qui ne le quitte jamais. Ses grandes mains sont rarement vide bien qu'il tienne plus souvent entre elles des jouets que des outils utiles.
On pourrait sans risque de se tromper voir une ressemblance entre Bacchus et le célèbre personnage de fiction Quasimodo. Il n'est donc pas un prix de beauté, disons franchement qu'il est repoussant et même sa serviabilité légendaire donne du mal à le trouver touchant ou sympathique. Non, il ferait plutôt hérisser les cheveux sur la tête.
Caractère:
Il n'est pas spécialement intelligent, les grandes réflexions ne sont pas son genre... bref, c'est un idiot. Un simple d'esprit pour rester poli. Il est assez naïf et croirait l'histoire la plus farfelue si on lui jurait qu'il s'agissait de la vérité. C'est l'employé de base, ni trop méchant ni trop gentil. Il fait son travail, point et on ne l'entend jamais se plaindre. Si on remarque la disparition d'objet de valeur, il y a de grande chance pour que cela soit son oeuvre. La phrase : Un esprit d'enfant dans un corps de brute, le résumerait assez bien. S'il parle peu, il est tout de même bon vivant et est accable de mentir. Comme tout enfant, il ne sait pas mesurer sa force et n'a presque aucune notion de bien ou de mal. Il a donc besoin d'une personne représentant l'autorité qui décide pour lui ou le conseille. Une figure maternelle, en somme. Devant cette personne, il serait d'une loyauté à toute épreuve, entièrement soumis. Sa naïveté le rend facilement manipulable et il pourrait très bien servir de mauvaises intentions sans s'en rendre compte.
Malgré son intelligence limitée, il est toujours surprenant de constater qu'il est incroyablement agile de ses mains quand il s'agit de construire des reproductions miniatures de maison, alors qu'il est extrêmement maladroit pour toutes autres tâches. Il consacre la plus part de son temps libre à ce passe-temps ainsi que son maigre salaire.
Il se montre très superstitieux et croit évidemment aux fantômes. Il est d'ailleurs sensible à leur présence. On ne sait pas trop ce qu'il en pense. S'il les respecte ou les craint. Les considèrent-ils comme les vrais propriétaires du château ou non ?
Serviable comme il l'est, il peut servir autant les spectres que les vivants. Il ne sait pas mentir et est de nature curieuse.
Histoire:
N'étant pas très bavard sur son passé, il y a beaucoup de mystère. Sa sensibilité à la présence de fantôme viendrait du fait qu'il était le frère cadet, un septième fils de septième fils pour être précis. Son physique particulier laisse a pensé qu'il a été abandonné à la naissance. Le fait que malgré son apparence, Bacchus reste en tant que domestique dans l'hôtel est du à a caprice du vieux propriétaire : Abraham Mac Callum. Toutefois, pour ne pas déranger la clientèle, il reste généralement en cuisine ou dans toutes autres pièces loin des clients.
Un léger changement dans son comportement ses derniers jours laisse à penser qu'il a été en contact avec un fantôme. Beaucoup de preuve tendrait à penser que ce fantôme serait Anne de Faussigny. On ne sait pas s'il est manipulé par possession ou bien est-ce que la fantôme à convaincu Bacchus mais le domestique ressent une grande haine envers Clémence depuis sa rencontre avec Anne. Il juge Clémence responsable de tous les malheurs des esprits et des vivants du château. Bacchus trouve certainement en Anne la référence maternelle qu'il a tant cherchée, d'où une fidélité sans borne à "la dame de fer".